MODERN BOYS
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 CALLUM je suis bonne STAR

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Callum Star
BONNASSEen chaiffe
Callum Star


Masculin ♦ messages : 2063
♦ date d'inscription : 03/01/2010
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♦ copyright : ©lion + shauni
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♦ pseudonyme : yeahyeahYEAH.

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MessageSujet: CALLUM je suis bonne STAR   CALLUM je suis bonne STAR EmptyVen 2 Avr - 22:42



CALLUM je suis bonne STAR 2r6mecw
FORMULAIRE A2B17
.................................................................................
♥️ Nom de famille : Smith (Star n'est qu'un pseudonyme)
♥️ Prénom(s) : Callum
.................................................................................
♥️ Nationalité/Origines : Britannique
♥️ Date & Lieu de Naissance : Né le 31 janvier 1974 à Manchester.
♥️ Age : 36 ans
♥️ Profession : Scénariste/acteur.
.................................................................................
♥️ Identité Sexuelle : Homme.
♥️ État Civil : Célibataire
♥️ Orientation Sexuelle : Homosexuel.
.................................................................................

PROFIL MEETIC
........................................................................................................
♥️ Pseudo/Prénom : Ryan
♥️ Age : 21 ans
♥️ Célébrité Choisie : Jude Law
♥️ Copyrights avatar/icône : Absynthe Abusive & alienating@lj
........................................................................................................
CALLUM je suis bonne STAR Jude016


Dernière édition par Callum Star le Sam 10 Avr - 14:35, édité 4 fois
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Callum Star
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MessageSujet: Re: CALLUM je suis bonne STAR   CALLUM je suis bonne STAR EmptyMar 6 Avr - 21:25

    IN BED WITH ME
    CALLUM je suis bonne STAR 2iizq0o
    ©cherrytree
    Cette partie est réservée à votre personnage, son histoire et son caractère. Elle devra contenir des détails physiques, des passages permettant de cerner ses qualités et défauts et bien entendu, l'histoire de votre personnage. 30 lignes minimum sont attendues, mais vous êtes libres de choisir la longueur; de même, vous pouvez rédiger cette partie de la manière qui vous convient le mieux.


    EPISODE 1.01: IN LOVE WITH LA FRANCE. S’appeler Smith et être originaire de Manchester, c’est plutôt incongru et dans les années 80 cela fit beaucoup rire autour de moi. Mes parents eux-mêmes ont toujours trouvé cela hi-la-rant et encore aujourd’hui ils s’en amusent. J’avoue que jusqu’à la séparation des Smiths, je n’ai jamais prêté attention à toute cette histoire, mais lorsque je découvris la musique de ce groupe aux alentours de mes treize ans, je me mis à faire croire à mes amis qu’en réalité, le groupe avait été nommé en hommage à mes parents ; mensonge dont ces derniers n’étaient pas prompts à se formaliser puisque cela montrait à quel point j’étais fier qu’ils soient mes géniteurs.
    De toute façon, nous vivions à Paris lorsque cette crise passagère s’est emparée de moi, et lorsque nous rentrâmes en Angleterre, deux ans plus tard, plus personne ne parlait d’eux et je dus abandonner cette petite plaisanterie qui me plaisait tant. Avant Paris, ma famille avait vécu à Berlin et à Manchester où j’étais né un « beau » jour de mai 1977. Mes parents, Judith et Georges, deux communistes un peu bohêmes ne tardèrent cependant pas à être attirés par la RDA comme des papillons le sont par la lumière et nous quittâmes l’Angleterre au moment de l’élection de Margaret Thatcher. Ce n’était pas bien entendu par une coïncidence, et ils fuyaient la menace libérale pour se jeter dans les bras de l’ami communiste. Résultat : nous passâmes une dizaine d’années dans un appartement relativement… pourri de Berlin-Est, sans trop de nouvelles de notre famille restée en Angleterre, mais pour Judith et Georges, la situation semblait acceptable et nous ne quittâmes l’Allemagne qu’après la chute du Berlin, pour déménager à Paris. Le bonheur de vivre dans la capitale française ! Les deux années que nous y vécurent me semblèrent filer à toute allure en comparaison de ce qui me paraissait être une éternité berlinoise et je ne repartis pour Manchester qu’à regrets, ayant vécu une véritable histoire d’amour avec Paris.
    Revenir vivre à Manchester fut un véritable choc culturel pour toute ma famille et moi, à commencer par mes parents qui avaient complètement oublié le style de vie à l’Anglaise qui était en désaccord avec leurs manies et leurs habitudes ; quant à moi je n’avais véritablement connu que l’Allemagne et la France, et je découvrais donc la vie en Grande-Bretagne en même temps que ma petite sœur, de neuf ans plus jeune que moi.

    EPISODE 1.02 PART ONE & TWO: THE SMITHS/I AM NOT MORRISSEY. Manchester, lorsque l’on n’a pas pour projet de devenir une rock-star, c’est une ville plutôt ennuyeuse dans laquelle on tourne vite en rond, particulièrement à l’adolescence. Faute de mieux, je me mis donc à écrire et je dois bien avouer que ce que j’écrivais au début était particulièrement mauvais ; heureusement que j’avais des heures entières devant moi pour m’entrainer et progresser. Mes « œuvres » (ou plutôt mes non-œuvres) traitaient invariablement du même sujet : un jeune garçon dont les parents n’acceptaient pas l’homosexualité quittait le domicile familial et traversait un nombre ahurissant d’épreuves avant de trouver l’amour à Paris où il s’installait pour de bon. Sans doute projetai-je sur mes héros une situation que mon esprit imaginatif aurait aimé vivre, tant elle lui semblait romanesque. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, je devais sans doute regretter que mes parents, tous deux autant ouverts d’esprit que bienveillants à l’égard de leurs enfants, aient toléré avec une facilité aussi déconcertante mon homosexualité. Ce chapitre de ma vie ne correspond sans doute pas aux attentes du public qui, confronté à un jeune garçon mancunien homosexualité qui décide de faire son coming-out dans les années 90, prévoit des drames, des larmes et des cris ; or pour moi ce fut tout le contraire puisque, alors que nous étions encore à Paris, le soir où j’avouais à mes parents mon attirance pour les garçons, ils me regardèrent en souriant et ne dirent rien d’autre que « Ton bonheur nous suffit mon garçon. » A quatorze ans tout juste, je venais de recevoir –sans m’en douter– une belle leçon de vie. Toujours est-il que cette situation me paraissait ennuyeuse à mourir et que dans les histoires que j’écrivais, je préférais parler de jeunes garçons en proie à des doutes et faisant face à la violence et au rejet de leurs pairs.

    Ces écrits plutôt sérieux et somme toute dénués de qualité me donnaient l’impression d’être quelqu’un d’important, un artiste que l’on admirerait un jour, et je me félicitais de mes dons pour l’écriture, jusqu’à ce jour d’automne 1992 où mon petit ami de l’époque, un jeune garçon dont je vénérais l’intelligence et la culture littéraire m’asséna un brutal « Tes histoires sont intéressantes, tes dialogues sont OK, mais bon-sang ce qu’on se fait chier quand on te lit ! » Ceci me fit prendre conscience que mes textes étaient sans doute trop prétentieux, et que je n’avais pas de réel talent pour raconter des histoires de la manière traditionnelle ; je me mis donc à écrire des scénarios jour et nuit, et à l’aube de mes seize ans, j’en avais écrit près de cinq en l’espace de quelques mois seulement. J’avais changé de petit ami (j’en changeais souvent, mon physique me permettait de papillonner sans trop me soucier, et ma jeunesse m’y incitait), et mon amoureux de l’époque se trouvait être le fils d’un réalisateur assez connu à l’intérieur des frontières du Royaume-Uni dont les films avaient la réputation d’être de qualité. Lorsque nous rompîmes, mon compagnon me vola l’un de mes scénarios et le donna à son père, le faisant passer pour sien. Le réalisateur tomba presque de sa chaise en lisant le scénario et décida d’en faire un film ; son fils n’avait pas prévu cela, et bien entendu, lorsque je me rendis au cinéma afin d’assister à la projection, je m’aperçus immédiatement que l’on m’avait volé mon travail, et mes soupçons se portèrent immédiatement sur le coupable désigné : mon ex. Nous eûmes une discussion mais ce n’était pas un garçon malhonnête ; il avait simplement agi sous l’influence de son désir de vengeance et n’avait pas réfléchi une seule seconde aux conséquences de son acte. Il accepta de parler de la situation de son père et se dernier, mu par la peur, avant même que j’ai pu menacer d’une action en justice, me proposa une offre que je pus ni ne voulus refuser : en échange de mon silence, il s’engageait à réaliser trois de mes scénarios lorsque je le voudrais et lorsque son emploi du temps le lui permettrait. C’est ainsi que je trouvai enfin un sens à ma vie terne à Manchester : il me fallait à présent livrer à cet homme trois scénarios de qualité.


    EPISODE 1.03: HOW HOLLYWOOD MET ME. Je travaillais d’arrache-pied sur mes scénarios, ne sortant qu’en de rares occasions ; mes parents, bien qu’heureux de me voir faire autre chose que me plaindre et ravis de me savoir passionné, s’inquiétaient un peu de mon ermitage et tentèrent bien de me faire sortir. En vain. J’abandonnai littéralement toute vie sociale pour mon consacrer à mes œuvres, et en avril 1995 je fus en mesure de livrer à Livingston (le réalisateur) mon premier scénario qu’il réalisa et qui sortit sur les écrans en janvier 1997. Dans la foulée, il réalisa mon deuxième scénario, un road-movie à travers les Etats-Unis, un film sur la découverte de soi inspiré des romans d’Hemingway. Le travail que nous fournîmes pour ce projet ne nous permit pas de savourer la réussite du premier film que nous avions tourné ensemble ; heureusement pour nous, ce nouveau film devait être un bien meilleur succès et il allait m’ouvrir les portes d’Hollywood : je fus en effet nominé dans la catégorie meilleur scénario aux Oscars de 1997 et je remportai ce précieux prix ! Durant la semaine qui suivit ma victoire, je reçus des coups de téléphone tellement nombreux que ma ligne fut saturée pendant deux jours, mais je ne m’en rendis même pas compte, trop occupé que j’étais à célébrer dignement mon Oscar, d’abord à Los Angeles, puis à Londres, puis à Paris, puis à Manchester avec ma famille.
    Tout cela doit paraitre bien ennuyeux et dénué d’intérêt ; durant cette semaine cependant, je bus tellement d’alcool que je ne me souviens de rien de ce qui s’y est passé ; je sais simplement que le fils de Livingston et moi-même avons ravivé la vieille flamme qui nous unit jadis, comme nous allions le faire fréquemment tant que je vivrais à Manchester. En effet jusqu’à mon départ pour Londres en 1999, Andrew et moi-même ne cessions de rompre (déclenchant chez lui des élans de colère qui lui faisaient faire des idioties) puis de nous retrouver. Nous avons bien entendu évolué depuis, et je n’ai plus eu de nouvelles de lui depuis si longtemps que la seule chose dont je me souvienne clairement à son propos est son refus systématique de dormir sans une petite veilleuse car il avait une peur compulsive du noir.


    EPISODE 1.04: I ♥️ LONDON (AS A FRIEND).
    Ma soudaine renommée réclamait certains ajustements dans mon style de vie, certains auxquels je consentis et d’autres que je rejetai ; je refusai par exemple de quitter ma famille et Manchester pour aller m’installer à Londres ou –idéalement selon mon agent– Los Angeles. Je restais donc auprès de mes parents et de ma petite sœur qui vivait les joies d’être « proche de célébrité » et abusait un peu de ses privilèges (elle était devenue la petite princesse de son école primaire et se faisait offrir goûters et cadeaux par ses petits camarades qui, envieux, voulaient tout savoir sur son grand frère). Etant donné que j’étais parvenu à réussir dans ma voie, mes parents m’autorisèrent à quitter l’école sans en sortir diplômé pour que je puisse me concentrer uniquement sur l’écriture, et un an après avoir reçu un Oscar, mon troisième scénario fit l’objet d’un film réalisé par Livingston, qui ne reçut malheureusement qu’un accueil frileux de la part de la critique et ce fut pour un choc qui me fit redescendre sur Terre et me força à prendre du recul par rapport à ce que je faisais. Je décidai alors qu’un tel affront ne pouvait se reproduire et qu’il fallait que je prenne les choses en main ; je quittai alors Manchester pour Londres, bien déterminé à devenir quelqu’un et à vivre la belle vie, the high life.
    J’étais, je l’avoue, très réticent à l’idée d’emménager à Londres ; les rares fois où j’y avais mis les pieds, la ville m’avait paru démesurément grande, froide, impersonnelle, carnivore et superficielle ; et les premiers temps, j’y étais complètement perdu, incapable de me retrouver dans son métro mal organisé, et sans amis qui auraient pu m’y guider. Par erreur un jour que je sortais d’un restaurant de Chinatown, j’atterris en plein quartier gay de Soho et de ce jour, Londres changea à jamais à mes yeux. Et je savais dès lors quel serait le sujet de mon prochain scénario.


    EPISODE 1.05: THE STARER OF THEM ALL.
    Je me mis au travail après avoir passé trois jours entiers dans Soho, sans rentrer à mon appartement de Hampstead ; j’avais visité le quartier, je l’avais découvert, j’avais fait des rencontres, et de ces trois jours je tirais une histoire, un monde à part. Je n’étais pas beau à voir durant cette période : mal rasés, les cheveux ébouriffés et trop longs, je mangeais mal et de manière irrégulière, je blanchis faute de lumière du soleil… Mais rien n’y faisait, je n’arrivais pas à mettre par écrit ce que je ressentais pour Londres. Mon père, à qui j’avais téléphoné me dit, toujours de très bon conseil –SAUF lorsqu’il s’agit de jardinage, le pauvre homme tue littéralement toute plante verte dont il essaie de s’occuper– « Tu devrais sortir un peu, t’aérer l’esprit. Ca te ferait du bien mon pauvre garçon. » Guère convaincu, j’étais néanmoins prêt à essayer, et je suivis la suggestion paternelle, quittant pour la première fois en plus d’une semaine et demi mon appartement ; j’allais de Hampstead à Soho et entrai dans un café. Pendant que je buvais mon thé au citron, des idées se bousculèrent dans ma tête et je courus sans même payer mon thé acheter un cahier et un stylo dans une papèterie qui se trouvait à côté. Malgré mes protestations de bonne foi, la patronne du café refusa de me laisser entrer à nouveau dans son établissement (« Mais madame, je vous assure, je comptais payer ! Je suis un artiste voyez-vous et… ») et il me fallu m’asseoir dans un petit parc public ; cet après-midi-là naquit le scénario qui allait donner naissance à mon plus gros succès critique à ce jour : The Last Beautiful Days.
    Ce film, lorsqu’il sortit en salle au printemps 2002, marqua la fin de ma traversée du désert, et le début de ma double carrière ; je n’étais plus seulement scénariste de mon film, mais j’en interprétais aussi l’un des rôles principaux. En 2003, je reçus un second Oscar et mon premier Golden Globe pour le scénario du film, ce qui consacra mon retour sur le devant de la scène. Je devins un scénariste avec lequel il fallait compter, ce que renforça encore mon troisième Oscar en tant que scénariste en 2005. Mais jusqu’à ce jour rien n’est venu dépasser le triomphe de The Last Beautiful Days et quoique je fasse, ce film reste mon chef d’œuvre. J’en suis extrêmement fier et je n’ai de cesse de rappeler que c’est moi qui l’ai écrit. MOI.


    EPISODE 1.06: TO THE INFINITY AND BEYOND.
    Depuis cet Oscar en 2003, je travaillais deux fois que d’ordinaire et ma productivité augmenta considérablement ; je me prenais très au sérieux et refusai systématiquement toute proposition qui à mes yeux risquait d’endommager mon image de scénariste intègre. Ainsi, je déclinai plusieurs offres de travailler pour la télévision jusqu’en 2004 où HBO, une chaine câblée américaine, me proposa de reprendre les rênes d’un projet qui semblait tomber à l’eau mais auquel elle tenait, Monster of the Week, une série fantastique qui s’annonçait comme un carton mais fut au final un échec commercial et ne dura qu’une saison faute d’audiences correctes ; les critiques furent en revanche très bonnes et nous ne gagnâmes pas moins de cinq Emmy Awards et deux Golden Globes. Ce passage sur HBO fut ma seule expérience avec la télévision avant 2007, année où j’écrivis une mini-série dramatique pour HBO et la BBC qui collaboraient sur ce projet. Private Lane reçut un meilleur accueil public et me permit enfin de connaitre le succès à la télévision. Je n’envisageai cependant pas pour autant d’y travailler de manière permanente, la considérant toujours comme la parente pauvre du cinéma et mes scénarios étaient tous écrits pour ce dernier. Discutant un jour avec un ami comédien, je m’aperçus tout à coup que j’avais peut-être sous-estimé la télévision ; jusque là, je m’étais contenté de mon statut de jeune prodige du cinéma, mais j’avais à présent trente ans passés et j’allais bientôt cesser d’être à la fois jeune et prodige. Je désirais plus, je voulais changer mon image, évoluer… Je m’aperçus que je désirais passer de la position de « prodige » à celle de « superstar », mais le cinéma ne me paraissait plus en mesure de répondre à mes attentes : j’y avais passé la plupart des années de ma jeunesse sans pour autant devenir un scénariste établi, en dépit des louanges des critiques et de l’accueil public généralement favorable.


    EPISODE 2.01: MOVING TO CAPE VALENTINE.
    Cet ami que j’évoquais plus haut se trouvais avoir été engagé pour jouer dans un téléfilm produit par une nouvelle chaine câblée londonienne qui ciblait particulièrement la communauté homosexuelle de la capitale, et il me dit savoir de source sûre que les patrons de MB-TV (c’était le nom de la chaine) cherchaient à produire et diffuser un soap-opera à l’américaine se déroulant dans une communauté constituée principalement d’homosexuels ; la série serait diffusée en prime-time une fois par semaine, ce qui changeait des formats habituels des programmes britanniques, diffusés plus sporadiquement et sur des périodes plus courtes. Au début je ne prêtai pas attention à ses propos mais en rentrant à mon nouvel appartement de Soho, coincé dans le métro londonien, je me mis à réfléchir à une idée de départ, un pitch que je pourrais proposer aux responsables de MB-TV ; bien entendu, cela ne fut guère long à venir, les soap-operas reposant tous sur les mêmes recettes. Après avoir écrit une bible assez complète de la série, je l’envoyai à qui de droit, et ainsi que je pouvais m’y attendre, je reçus un appel presque immédiatement après avoir posté le projet : pour les dirigeants d’une chaine sur le point de naitre, avoir dans leurs équipes un scénariste de ma réputation était un avantage inimaginable et je leur fournirais ainsi de la crédibilité.
    La naissance de Cape Valentinefut longue et difficile, et la route parsemée d’obstacles ; les dirigeants voulaient sans cesse changer des parties plus ou moins grosses de la série et tentèrent de m’imposer leur point de vue, tandis que je restai braqué sur mes positions initiales. Mon agent me convainquit finalement de faire des concessions pour qu’eux-mêmes en fasse, et je consentis à déplacer l’action de l’intrigue de la banlieue de Liverpool à une ville imaginaire d’Italie, à supprimer la plupart les éléments sociaux et politiques que j’avais d’abord incorporés à l’intrigue et enfin j’acceptai de faire en sorte que chaque épisode de la série comporte des éléments de nudité afin de satisfaire le public. Mes nouveaux employeurs durent quant à eux se faire à l’idée d’incorporer un couple hétérosexuel à la série et m’accordèrent de ne pas inclure de personnages lesbiens dans la série (j’ai toujours eu une sainte horreur des lesbiennes). Cet ami que j’évoquais plus haut se trouvais avoir été engagé pour jouer dans un téléfilm produit par une nouvelle chaine câblée londonienne qui ciblait particulièrement la communauté homosexuelle de la capitale, et il me dit savoir de source sûre que les patrons de MB-TV (c’était le nom de la chaine) cherchaient à produire et diffuser un soap-opera à l’américaine se déroulant dans une communauté constituée principalement d’homosexuels ; la série serait diffusée en prime-time une fois par semaine, ce qui changeait des formats habituels des programmes britanniques, diffusés plus sporadiquement et sur des périodes plus courtes. Au début je ne prêtai pas attention à ses propos mais en rentrant à mon nouvel appartement de Soho, coincé dans le métro londonien, je me mis à réfléchir à une idée de départ, un pitch que je pourrais proposer aux responsables de MB-TV ; bien entendu, cela ne fut guère long à venir, les soap-operas reposant tous sur les mêmes recettes. Après avoir écrit une bible assez complète de la série, je l’envoyai à qui de droit, et ainsi que je pouvais m’y attendre, je reçus un appel presque immédiatement après avoir posté le projet : pour les dirigeants d’une chaine sur le point de naitre, avoir dans leurs équipes un scénariste de ma réputation était un avantage inimaginable et je leur fournirais ainsi de la crédibilité.
    La naissance de Cape Valentine fut longue et difficile, et la route parsemée d’obstacles ; les dirigeants voulaient sans cesse changer des parties plus ou moins grosses de la série et tentèrent de m’imposer leur point de vue, tandis que je restai braqué sur mes positions initiales. Mon agent me convainquit finalement de faire des concessions pour qu’eux-mêmes en fasse, et je consentis à déplacer l’action de l’intrigue de la banlieue de Liverpool à une ville imaginaire d’Italie, à supprimer la plupart les éléments sociaux et politiques que j’avais d’abord incorporés à l’intrigue et enfin j’acceptai de faire en sorte que chaque épisode de la série comporte des éléments de nudité afin de satisfaire le public. Mes nouveaux employeurs durent quant à eux se faire à l’idée d’incorporer un couple hétérosexuel à la série et m’accordèrent de ne pas inclure de personnages lesbiens dans la série (j’ai toujours eu une sainte horreur des lesbiennes). Ils durent également me permettre de tenir l’un des rôles principaux de la série, celui d’un psychologue manipulateur et dangereux, utilisant ce que lui confient ses patients pour parvenir à ses fins.


Dernière édition par Callum Star le Sam 10 Avr - 14:50, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: CALLUM je suis bonne STAR   CALLUM je suis bonne STAR EmptyMar 6 Avr - 21:28

    IN BED WITH ME PART. 2
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    Cette partie est réservée à votre personnage, son histoire et son caractère. Elle devra contenir des détails physiques, des passages permettant de cerner ses qualités et défauts et bien entendu, l'histoire de votre personnage. 30 lignes minimum sont attendues, mais vous êtes libres de choisir la longueur; de même, vous pouvez rédiger cette partie de la manière qui vous convient le mieux.

    ARTICLE PARU DANS GAY TIMES (AOÛT 2009) :
    La nouvelle a de quoi surprendre : Callum Star va écrire un soap-opera pour MB-TV, la nouvelle chaine gay de Londres dans lequel il tiendra aussi un rôle ! Qu’est-ce qui a bien pu passer par la tête de Star pour accepter un tel projet ? Il n’est pas question de dénigrer ici une œuvre de fiction dont personne ne sait encore rien, mais le scénariste de The Last Beautiful Days nous a habitués à tout autre chose et la transition entre cinéma de qualité et soap-opera à destination du public homosexuel semble obscure… Concrètement, qu’est-ce que cela signifie ?
    Eh bien pour commencer, nous avons devant nous la preuve que personne n’est jamais intègre jusqu’au bout ; Star dont aucun film n’a été produit par un grand studio et qui a systématiquement refusé de signer des contrats contraignants avec les distributeurs américains vient de rejoindre une chaine télévisée dont les programmes, selon les premiers échos qui nous parviennent, seront du racolage pur et simple à destination de la communauté LGBT. Ne nous méprenez pas : loin de nous l’idée de dénigrer la création d‘une chaine gay (au contraire, toute entreprise destinée contribuer à la visibilité de la communauté LGBT doit être encouragée), mais sérieusement, travailler pour une chaine appartenant à une entreprise soupçonnée d’avoir des liens avec la mafia russe, ça n’est pas faire preuve de manque d’éthique ? SERIEUSEMENT ?
    Alors Callum Star, si vous lisez cet article, comprenez ceci : peut-être que vous êtes légèrement à court d’argent ; peut-être aussi que vous voulez être toujours plus célèbre ou bien que tout ceci n’est qu’une tactique pour faire parler de vous ; quoiqu’il en soit, plutôt que de vous fourvoyer dans une telle entreprise, rejoignez-nous plutôt. Le salaire est plutôt bon et vous serez lu tous les mois… [NB: le siège du magazine a été détruit par un incendie trois jours après la publication de ce numéro...]

    POST DU BLOG QUEER ME NOW! (DÉCEMBRE 2009) :
    Ne soyons pas hypocrites : de la filmographie de Callum Star je ne retiendrai que deux choses ; The Beautiful Days, véritable chef d’œuvre du cinéma britannique, et les scènes de nu qu’il a tournées tout au long de sa carrière d’acteur couplée à celle de scénariste. Je ne dis pas que je trouve Star dénué de talent, mais je m’en contre-fiche. J’aime The Beautiful Days parce que c’est un film magnifique, et j’aime Callum Star parce que c’est un homme magnifique, point. En tant qu’homo, il me semble important d’avoir des personnalités qui représentent la communauté LGBT, mais je préfère largement quand elles sont moches : au moins je n’ai pas de problème à les prendre au sérieux car je ne passe pas mon temps à les déshabiller du regard. (…)
    C’est ça que je déteste chez lui : il se prend pour Madonna. Alors oui il a fait quelques bons films, oui il sait jouer la comédie et écrire des scénarii intelligents, oui il prend des risques et oui il joue bien ; mais il faudrait que quelqu’un dise à Callum Star que sa renommée il la doit seulement à sa jolie bouille –et à son corps de rêve dont on redemande.

    INTERVIEW ACCORDÉE AU MAGAZINE VANITY FAIR (MARS 2010) :
    « Je crois que ce qui pose avant tout problème aux gens, c’est que j’aie l’opportunité de faire ce qui me plait. Si demain l’envie me prend d’écrire un film engagé, rien ne m’en empêcherait et aujourd’hui, si j’ai envie de travailler pour MB-TV c’est mon droit et il n’y a personne qui ait autorité pour me faire changer d’avis. C’est la principale raison pour laquelle certaines personnes se sont pour le moins étonnées de me voir travailler à l’écriture d’un soap-opera. »
    (Callum Star a bien cet accent un peu posh de Londres que la rumeur lui prête, et il parle d’une manière un peu désuète, comme s’il écrivait. C’est déconcertant au premier abord, mais on se finit par se prendre au jeu.)
    « Une série télé, ce n’est pas forcément… une merde… » (Le mot semble lui écorcher la bouche.) « C’est un challenge à écrire, le système change vraiment de ce que j’ai pu écrire jusqu’à présent. Pour ma mini-série, c’était très simple : j’avais six épisodes à écrire et tout était planifié avant le début du tournage. Pour ‘Monster of the Week’, la saison 1 était entièrement écrite, et étant donné que nous n’avons pas eu de suite, je n’ai pas eu le temps de vraiment vivre la sensation telle que d’autres l’ont ressentie. Là, aucun nombre ne m’a été donné ; en cas de succès, la série est prévue pour durer indéfiniment et en cas d’échec, elle pourrait bien être annulée au bout de trois épisodes. »
    (On voit bien, à son air sûr de lui et à son sourire amusé, que Star ne croit pas un instant à un échec potentiel de Cape Valentine. Pour lui, la série fonctionnera, coûte que coûte.)

    ________________

    GEORGES SMITH (PERE DE CALLUM) : « Je suis plus que ravi de la réussite de mon fils bien sûr. Le bonheur de mes enfants est la seul chose qui m’importe vraiment. Tant qu’il est heureux, je suis heureux aussi. Sa sexualité ça n’a jamais été un problème, pour sûr. Bon, j’avoue que je me demande si tout cette attention autour de lui c’est très sain. C’est-à-dire que j’ai un peu peur que ça lui fasse tourner la tête, à mon garçon. C’est quelqu’un de bien, la question n’est pas là, c’est juste… vous savez, il est humain, il est comme tout le monde. Et en plus il est homosexuel, alors il aime bien tout ce qui brille, les paillettes, le glamour tout ça. J’aimerais quand même beaucoup qu’il prenne un peu de recul, parce que je sais que s’il se poste cinq minutes pour réfléchir ce qu’il fait, il va pas approuver ses propres actes… vous savez, cette histoire de soap-opera… ça lui ressemble pas à mon fiston de faire ce genre de trucs. »

    LUKE B. (PASSANT) : « Callum qui ? »

    GRAHAM APPLEGATE-FOX (AMI DE CALLUM) : « Callum ? Il est vraiment sympa comme garçon. C’est vrai qu’il a cette manière bizarre de s’exprimer, mais ça fait son charme je trouve. Enfin, je ne suis peut-être pas très objectif vu que bon… Enfin… J’aime bien passer du temps en sa compagnie. Il en a sous le chapeau cet homme-là. Et il est vraiment drôle. C’est quelqu’un de super sérieux qui peut tout à coup se transformer en boute-en-train. Comme par exemple cette fois où il avait trop bu et imitait les passants dans la rue ! Si si je vous jure ! Il les suivait en exagérant le moindre de leurs gestes, c’était à mourir de rire ! Surtout quand il imitait cette petite vieille qui mar… attendez, vous filmez là ? »

    TÉMOIGNAGE ANONYME (IL S'AGIT EN FAIT D'UN PASSAGE QUE GRAHAM APPLEGATE-FOX SOUHAITE GARDER POUR LUI) : « Callum j'ai envie de le CENSURÉ. »

    STASIE ROMANOV (EMPLOYEUR DE CALLUM) : « Oui BLA BLA, il est talentueux, travailleur et très agréable, c'est l'employé du mois et il est sexy. Hors de ma vue, manants, ou je vous fais décapiter ! »

    ANDREW LIVINGSTON (EX-PETIT AMI DE CALLUM) : « CALLUM STAR, SI TU ME VOIS, elle est où la caméra, ah là, bien, SI TU ME VOIS JE T'EMMERDES ! TU M'AS ENTENDU, ESPÈCE D'ORDURE ? Vous pensez qu'il m'a entendu ? Oui ? Bon. Sinon ça va ? Oh oui il est cool comme garçon. quand je l'ai connu il était pas encore la starlette que c'est aujourd'hui, mais il valait quand même le détour. Et au lit... oh... Je peux bien vous le dire, personne ne regarde BBC 2 pas vrai ? Il pleure au moment de l'éjaculation. Comment ça c'est dans Desperate Housewives ? Mais non mais pas du tout ! Oh allez au Diable ! »

    ELTON JOHN (CHANTEUR) : « J'aime pas les jeunes. J'aime personne de toute façon, je suis vieux et bouffi et je m'habille avec trop de couleurs, je ressemble à du vomi d'arc-en-ciel. »


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MessageSujet: Re: CALLUM je suis bonne STAR   CALLUM je suis bonne STAR EmptyMer 7 Avr - 21:52

    LE PREMIER ÉPISODE
    CALLUM je suis bonne STAR 2hxq1pj
    ©mymz
    Décrivez, en RP, une journée de travail de votre personnage à MB-TV, avec son lot d'incidents, de catastrophes et de réjouissances. N'oubliez pas de garder un ton comique. 20 lignes minimum.

    DAY ONE.
    Callum marche avec assurance et s'avance à travers l'immense hall d'entrée de la tour Romanov d'où il prend l'ascenseur jusqu'au niveau +9, celui des locaux de Modern Boys-TV. Callum est très élégant ce matin : il porte une paire de jeans 'skinny' hors de prix, une chemise et un gilet Ben Sherman et des chaussures dont j'ignore la marque parce qu'en réalité, je ne m'y connais pas en matière de mode et Callum pourrait tout aussi bien être en jogging que je ne ferais pas la différence. La vérité c'est que je suis un très mauvais narrateur.
    Arrivé à l'étage de destination, Callum sort de l'ascenseur d'un pas conquérant et assuré, comme s'il était le maitre des lieux et fait son chemin jusqu'à la salle de conférence de la chaine, où il est attendu par les dirigeants de la chaine et y entre.

    CASTIEL ROMANOV surpris- « Callum !? Qu'est-ce que tu fais ici ? »
    CALLUM éclate de rire, visiblement, il apprécie la plaisanterie- « Je ne sais pas, peut-être que je suis venu... travailler. »
    Échanges de regards perplexes entre les différentes présentes dans la salle, sauf Callum qui est très satisfait de sa surenchère.
    CASTIEL - « Mais on n'a rendez-vous que demain matin... »

    Callum ne dit rien, ne bouge pas, il se transforme en statue, pendant que Castiel prend un air désolé et que le reste de la salle affiche des sourires amusés devant la mine déconfite de Callum.

    CALLUM déconcerté- « Mais enfin... Je ne comprends pas... Quelle heure est-il ? Huit heures trente bon sang ! Je m'en fiche, oh oui je m'en fiche je reste; je n'ai presque pas dormi pour préparer ce... satané épisode, pardonnez-moi l'expression, je me suis couché à deux heures, levé à six, j'ai traversé la moitié de la ville, je me suis entassé dans le métro, coincé entre une grand-mère qui est sans doute morte pendant le trajet et un ouvrier Pas de soucis, Valerie nous présentait des idées de sujets pour son émission sur les lesbiennes... »
    CALLUM - « Je sais où trouver la sortie, ne vous dérangez pas. »


    DAY TWO.
    Callum est assis dans une des loges des studios de MB-TV, vêtu d'un peignoir. Il tient dans sa main le scénario de l'épisode d'aujourd'hui qu'il a lui-même écrit. Il se récite à lui-même quelques unes des répliques de la scène qu'il s'apprête à tourner et s'arrête lorsque l'on frappe à sa porte. Callum insiste pour que la loge qu'il occupe soit considérée comme sienne, même si d'autres personnes l'utilisent en même temps que lui, faute de place. Il se lève, ouvre la porte et suit le technicien qui est venu le chercher; le tournage de la scène va pouvoir commencer. Une fois sur le plateau Callum se met en place et attend que tout le monde fasse de même; puis le réalisateur envoie le signal de départ et les acteurs deviennent des personnages à part entières. Je ne sais pas de quoi parle la scène, tout ce que je sais c'est que Callum doit y être nu. J'avoue avoir décroché quand je l'ai vu laisser tomber son peignoir sur le sol.
    Lorsque le tournage de la scène est terminée, Callum reprend son peignoir et s'en habille; il se dirige ensuite vers le buffet, hésite entre une bouteille d'eau minérale ou de soda, choisit le soda parce qu'il se fiche de sa ligne, l'ouvre et y boit. Derrière lui, quelqu'un lui dit:

    VOIX MASCULINE - « Ah mince t'as pris la dernière bouteille de soda... Avec quoi est-ce que je vais me requinquer moi maintenant ? »

    Callum se retourne, et c'est Graham Applegate-Fox, son meilleur ami, qui lui fait face.

    CALLUM - « Graham ! Qu'est-ce que tu fais ici ? Ton studio est de l'autre côté il me semble, non ? »
    GRAHAM sourit- « On est en pause, du coup je suis venu te voir jouer. »
    CALLUM recrache une partie de son soda par terre, à la fois surpris et gêné- « Quoi ?!? »

    Graham acquiesce de la tête.

    CALLUM rouge de honte- « Mais alors... tu as... vu... la scène ? »
    GRAHAM - « Bon oui, mais t'inquiète pas, je vais pas commencer à fantasmer sur toi, à te suivre jusqu'à chez toi après le travail et à t'appeler pour te demander comment tu vas ! T'es toujours mon pote. »

    Graham donne une tape dans le dos à Callum, quelque chose de très viril qui fait encore cracher un peu de soda à Callum.

    GRAHAM - « Désolé. Allez vieux, je m'en vais. Et n'oublie pas, je ne fantasme pas sur toi parce que je t'ai vu nu à l'instant. »

    Graham et Callum éclatent de rire tous les deux, mais il est clair que leurs rires sont forcés, et Graham retape dans le dos de Callum avant de s'en aller. Seul au buffet, Callum respire enfin et s'appuie contre la table, l'air désolé.

    CALLUM - « Reprends-toi Callum, reprends-toi... Ce n'est jamais que le moment le plus embarrassant de toute ta vie... »
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